La Banque centrale européenne a publié les résultats de son deuxième stress test sur le risque climatique. Il en ressort que l’économie aurait intérêt à renforcer ses efforts pour se mettre d’ici à 2030 sur les rails de l’Accord de Paris. Tout retard coûterait in fine plus cher aux ménages, aux entreprises et aux banques.

