La Banque centrale européenne, qui estimait jusqu’à 13 milliards d’euros le besoin de réserves supplémentaires face aux risques des prêts LBO, n’a à ce jour pas rendu les conclusions de son examen attendu en septembre. La conséquence d’une pression intense des banques de la zone euro, vent debout contre le modus operandi de l’institution.